Il est de plus en plus fréquent d’avoir un proche ou un(e) collègue qui est frappé d’un mal de notre temps, le burn-out. Mon propos dans les lignes à venir ne sera pas de le définir, ni d’en donner les causes. Non, l’idée que je veux défendre? Le burn-out est une chance. Le burnout est une opportunité.
Le burn-out est une chance.
Quand vous êtes atteint, cela signifie que le message que souhaitait vous transmettre votre corps vous est enfin parvenu. Il criait pause depuis belle lurette, il vous exhortait à diminuer la cadence, à appuyer sur pause. Vous ne l’avez probablement pas entendu, résultat il a dû employer la mesure forte afin de faire passer son message. L’entendre et l’écouter est déjà une chance.
Le burn-out est une opportunité.
Le burn-out est effectivement l’opportunité de faire le point dans sa vie, de réorienter ses priorités, de se demander si l’emploi qui est le nôtre fait sens à nos yeux, si l’existence que l’on mène à à la hauteur de nos espérances et attentes. Quand les réponses sont négatives, le burn-out est l’opportunité de suivre enfin les désirs de son cœur, d’aligner sa mission de vie avec ses valeurs et ses actions.
En résumé, même si quand vous souffrez de burn-out, vous avez le sentiment diffus de marcher dans une nuit sombre, rappelez-vous que cette nuit allumera votre étincelle.